vendredi 16 novembre 2012

Inde : Udaipur, palais pas laids


C'est une ville de maharajas. Un lac au milieu de la cité dont une partie n'est autre qu'une île. L'autre partie, en légère pente est appelée la vieille ville. Le coeur même de cette cité n'est pas très grand. Et pourtant, à l'inverse, on y trouve des grands ensembles immobiliers. Mais pas des buildings modernes, plutôt des grands palais, ou hôtels qui datent un peu voire beaucoup.

Ils sont éparpillés un peu partout et sont de couleurs claires, même de blanc frais. Un palais de près de 300 mètres de longs qui était la place forte et qui est encore aujourd'hui l'endroit des hauts rendez-vous. Un haveli extirpé de son abandon et transformé en partie en musée de la culture locale, une autre partie présentant le bâtiment dans son état originel donc enchanteur. Un autre palais propre, net et sans bavure au milieu du lac faisant office d'hôtel de luxe aujourd'hui pour lequel il faut casser sa tirelire. Un autre édifice, sur le lac toujours et d'envergure encore...

A côté de ces démonstrations, on baroude dans des rues étroites et sinueuses confinées entre deux rangées de maisons de plusieurs étages. Tout converge vers le lac ou en est à la portée comme les temples boudhistes en plein coeur de la ville mais semblant cachés. Une autre caractéristique de cette ville qui la différencie de ses conseurs rajhastanies.

Et puis, cette région est aussi le berceau de la peinture miniature, ce qui lui confère un attrait culturel tout comme la tradition marionnettiste égalant notre Guignol et sa compagnie.

Udaipur est différente. Une ville qui paraît sans espace mais qui n'en manque pourtant pas. L'atmosphère y est légère. Les reflets dans le lac doivent y être pour quelque-chose.





























































Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire